par lechappee | Nov 8, 2021 | Non classé
– Évènement dans le cadre de la journée internationale de lutte contre les violences de genre du 25 novembre –
Projection du documentaire #SalePute (réalisé par Florence Hainaut et Myriam Leroy), suivi d’une conversation avec Pauline Harmange, qui témoigne dans le film.
Projection en ligne, le 23 novembre à 19h30. Inscriptions nécessaires sur Hello Asso en cliquant ici ou sur le bouton « participer » ci-dessous. Prix libre en soutien à l’Échappée.
« Les femmes sont 27 fois plus susceptibles que les hommes d’être harcelées via Internet et les réseaux sociaux. Les journalistes Florence Hainaut et Myriam Leroy se saisissent du sujet pour dresser un portrait social du cyberharcèlement : qui en sont les auteurs ? Quelles en sont les conséquences, personnelles et professionnelles, pour les victimes ? Et comment la société, depuis les institutions jusqu’aux individus, condamne ou ferme les yeux sur ces violences ? Dans un documentaire mêlant analyses et témoignages d’expert·es et de personnes concernées aux quatre coins du monde, #SalePute fait l’état des lieux des violences en ligne et met en lumière ses mécanismes. »
Avertissement de contenu : Certains propos rapportés dans le film (insultes, menaces) peuvent être difficiles à entendre
L’évènement est organisé en ligne afin de garantir l’accessibilité de notre événement, quelle que soit la situation des personnes vis-à-vis du passe sanitaire.
par lechappee | Oct 26, 2021 | Non classé
Nouveau site
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par lechappee | Oct 26, 2021 | Non classé
Save the date : 23/11/21
Le 25 novembre est la journée internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes. Même si nous sommes occupées à lutter contre ces violences tous les jours de l’année, nous nous saisirons, cette année encore, de l’occasion pour vous proposer une petite programmation, qui aura lieu le 23 novembre. A suivre ici même !
par lechappee | Oct 22, 2021 | Non classé
Événement 25 novembre 2020
Chaque année, L’Échappée organise un temps fort autour du 25 novembre, journée contre les violences faites aux femmes. Cette année, nous vous donnions rendez-vous au Cinéma l’Univers le 28 novembre mais au vu du contexte, nous reportons malheureusement l’événement… Affaire à suivre ! En attendant des jours meilleurs, nous vous proposons de participer à un atelier autour du film “La fabrique du consentement, regars lesbo-queer” réalisé par Mathilde Capone.
- Le Film : La fabrique du consentement : regards lesbo-queer
Long-métrage documentaire expérimental Québec, Canada, 2020, 73mins Bande-annonce: https://vimeo.com/345487193Et si les communautés lesbo-queer avaient quelque chose à partager des singularités de leurs sexualités? À travers l’épineuse question du consentement, seize protagonistes de ces communautés prennent la parole. Existe-t-il une zone floue, un continuum entre consentement et agression? De quelles manières peut-on déjouer la culture du viol et innover en matière de consentement? Comment la notion d’agression a-t-elle été instrumentalisée historiquement pour exclure les femmes trans? Plongeant au coeur de leurs intimités, les protagonistes du film interrogent, se mettent en colère, rient, inventent d’autres possibles. Iel-le-s posent d’autres regards sur le consentement, à partir de l’expérience de leurs communautés marginalisées, de leurs sous-cultures et de leurs explorations.
L’idée de cet atelier est d’expérimenter collectivement différentes pratiques du consentement, en complément au visionnement du documentaire expérimental “La fabrique du consentement : regards lesbo-queer”. Nous vous proposons d’éprouver une mise en pratique novatrice du consentement. A partir d’exercices concrets et ludiques, nous penserons ensemble à nos désirs, aux complexités qu’ils suscitent et à nos possibilités pour les appréhender et les exprimer. Les exercices proposés visent à nous doter d’outils pour comprendre et poser des mots sur nos envies, exprimer notre consentement dans toute sa multiplicité et mettre en place différentes manières pour négocier nos interactions, notamment les façons de toucher et d’être touché·e. L’atelier se déroule en plusieurs phases qui visent à affiner une définition collective et mouvante du consentement et à établir une cartographie qui nous parle en tant que personne ayant une sexualité lesboqueer. Plus précisément, du temps sera consacré à l’introspection : c’est quoi pour moi « du bon sexe » ? Quelles sont les pratiques sexuelles qui m’intriguent et comment pourrais-je les négocier avec ma/mon/mes partenaires ? Quels sont mes meilleurs souvenirs en termes de pratique du consentement ? Est-ce que j’ai déjà merdé et dépassé les limites de quelqu’un·e, dans quel contexte ? Nous réfléchirons à comment mettre en œuvre des stratégies pour pratiquer un consentement qui laisse de la place à la fluidité de nos désirs et au renforcement de notre estime et de la confiance en nos propres limites.
- Comment cela va se passer ?
- L’atelier se déroulera en mixité choisie lesbo-queer. Il s’adresse aux personnes pratiquant une sexualité non-cis-hétéro. Cette mixité inclut toutes les personnes se plaçant un spectre d’identité large : lesbienne mais pas forcément cis, queer mais pas forcément lesbienne.
Nous vous enverrons le vendredi 27 novembre le lien privé du film, vous aurez 24h pour le visionner. Puis, rendez-vous en visio à 14h le samedi 28 novembre pour discuter avec l’équipe du film et participer à un atelier sur la thématique suivante : “C’est quoi avoir du bon sexe ? » – Durée : 2h30 – Animé par Mathilde Capone & Robine
Atelier réservé à 10 personnes maximumNB : Si vous souhaitez voir le film mais pas participer à l’atelier, ne vous inscrivez pas! Nous le reprogrammerons dès que possible. Avec le soutien de la Ville de Lille et du Conseil de Quartier Lille-Moulins
- Le Film : La fabrique du consentement : regards lesbo-queer
Long-métrage documentaire expérimental Québec, Canada, 2020, 73mins Bande-annonce: https://vimeo.com/345487193Et si les communautés lesbo-queer avaient quelque chose à partager des singularités de leurs sexualités? À travers l’épineuse question du consentement, seize protagonistes de ces communautés prennent la parole. Existe-t-il une zone floue, un continuum entre consentement et agression? De quelles manières peut-on déjouer la culture du viol et innover en matière de consentement? Comment la notion d’agression a-t-elle été instrumentalisée historiquement pour exclure les femmes trans? Plongeant au coeur de leurs intimités, les protagonistes du film interrogent, se mettent en colère, rient, inventent d’autres possibles. Iel-le-s posent d’autres regards sur le consentement, à partir de l’expérience de leurs communautés marginalisées, de leurs sous-cultures et de leurs explorations.
L’idée de cet atelier est d’expérimenter collectivement différentes pratiques du consentement, en complément au visionnement du documentaire expérimental “La fabrique du consentement : regards lesbo-queer”. Nous vous proposons d’éprouver une mise en pratique novatrice du consentement. A partir d’exercices concrets et ludiques, nous penserons ensemble à nos désirs, aux complexités qu’ils suscitent et à nos possibilités pour les appréhender et les exprimer. Les exercices proposés visent à nous doter d’outils pour comprendre et poser des mots sur nos envies, exprimer notre consentement dans toute sa multiplicité et mettre en place différentes manières pour négocier nos interactions, notamment les façons de toucher et d’être touché·e. L’atelier se déroule en plusieurs phases qui visent à affiner une définition collective et mouvante du consentement et à établir une cartographie qui nous parle en tant que personne ayant une sexualité lesboqueer. Plus précisément, du temps sera consacré à l’introspection : c’est quoi pour moi « du bon sexe » ? Quelles sont les pratiques sexuelles qui m’intriguent et comment pourrais-je les négocier avec ma/mon/mes partenaires ? Quels sont mes meilleurs souvenirs en termes de pratique du consentement ? Est-ce que j’ai déjà merdé et dépassé les limites de quelqu’un·e, dans quel contexte ? Nous réfléchirons à comment mettre en œuvre des stratégies pour pratiquer un consentement qui laisse de la place à la fluidité de nos désirs et au renforcement de notre estime et de la confiance en nos propres limites.
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